présentation

Bonjour a tous et a toute, ceci est une fic qui raconte l'histoire de professeur layton et l'étange village, j'espere que vous aimerais, je me suis parmis de faire des petite touche parsonnelle, j'espere que sa ne vous rebuteras pas... je suis en trains d'écrire la suite, je la posterais si y a des coms pasitifs x) Sur ce, bonne lecture !!!!!!!
( laissez des coms svp )

Je peux dire que je trouve ta fic un peu courte

oups ze sais prblm : c trop gros attendez que je la racourcisse svp ( jsuis un boulet )

Mais non t'es pas un boulet

merci T.T mais bordel j'aimerais savoir comment on fait pr transférer un dossier dans la barre ''nom du fichier'' pck je peux pas écrire dedans

T'as cas faire un copier-coller de ton texte et le poser ici

(Voilà bonne idée je fais copier collé ici xD)


Je n’avais parler a personne de ce que j’avais vu ce jour la… en effet… Tout commence comme ça : Professeur Layton, archéologue à la capacité de réflexion hors du commun, et son assistant Lucke, sont dans leur voiture et roulent tranquillement. L’air était frais et la rosée du matin luisait encore sur la végétation encore fraiche du jour. Lucke regarde les papillons derrière la vitre tout
- Professeur, dit Lucke, quand allez-vous enfin m’expliquer ? Je ne comprends pas. Pourquoi nous être déplacés pour une simple histoire d’héritage ?
- Ah ah, Lucke, tu ne me connais pas ! Tu penses vraiment que j’irais aussi loin pour une simple histoire d’héritage ? Non, en réalité c’est une affaire beaucoup plus complexe. Vois-tu, le Baron Augustus Reahold riche héritier d’une famille aisée du monde, est mort il y a un mois. Sur son testament il est inscrit : « La pomme d’or mon plus grand trésor, est cachée dans ce village (Saint Mystère) Celui ou celle qui la trouvera héritera de tous mes biens. » Or, de tous ceux qui l’ont cherchée, personne ne l’a trouvée. Bref, la Baronne, aprée avoir jeter un œil sur un article me concernant, m’a convoqué pour résoudre cette énigme, expliqua le professeur.
- Et qu’est-ce que la pomme d’or au juste ? Demanda Lucke.
- Pour certains, c’est un bijou, pour d’autres, un tableau, personne ne sait exactement de quoi il s’agit.
- Je vois, répondit Lucke d’un ton malin, et votre célèbre intuition de détective vous dit que cela promet d’être intéressant …
- Enfin, fit Layton, tu sais aussi bien que moi que je n’ai rien d’un détective, c’est tout simplement que tout gentleman qui se respecte doit toujours accepter la demande d’une jolie femme.
- Si vous le dites Professeur…
La petite voiture anglaise poursuivit sa route encore quelques temps dans la terre battue avant d’arriver à destination.
- Nous arrivons !
Ils descendirent de leur voiture. A premiere vu, ils resterent assez abassourdi par ce qu’il avaient sous les yeux. Lucke et le professeur restèrent plantés devant Saint Mystère, sans pouvoir y accéder.
- Ca alors, dit Layton, c’est la premiere fois que je vois une chose pareille : un village fortifier, et entourer par un fossé !
A cause de cela, justement,



La seule chose que l’on voyait nettement était une tour qui Dépassait du village.
Une immense tour formée de maisons empilées les unes sur les autres.
- Heu… Professeur ? Apparemment nous sommes coincé…
En effet, seul un pont-levis permettait d’entrer au village, et celui-ci était bloqué.
- Je sais Lucke, je l’ai vu. Mais il y a un homme là-bas, il abaissera peut-être le pont-levis.
Layton appela l’homme, et celui-ci se retourna nerveusement. Il était petit, gros, et il avait une casquette rouge qui lui tombait sur les yeux.
- Excusez-moi ! appela Layton, auriez-vous l’amabilité d’abaisser le pont-levis s’il vous plait ?
L’homme répondit au quart de tour :
- Non mais franchement, est-ce que j’ai une tête à baisser le pont-levis pour deux étrangers bizarres ?
- Nous sommes des invités de la Baronne, continua le professeur.
- Quoi ?! De la Baronne ? Okay, j’ai compris… Je baisserai le pont-levis pour vous, monsieur, mais alors, il faudra que vous m’aidiez à trouver la bomme manivelle…
L’homme montra trois manivelles. Comme celles-ci étaient très détaillées, Layton dut plisser les yeux pour mieux les voir. (Car je vous rappelle que Layton et Lucke sont du côté opposé de celui de l’homme). Le professeur examina les manivelles et déclara :
- Je n’y arrive pas. Lucke, veux-tu résoudre ce problème ?
- Pardon ?! s’exclama Lucke. Enfin, oui professeur.
Lucke examina, compara, et enfin annonça :
- C’est la première !
- Exact. dit son mentor.
- Comment ?! Fit Lucke, Professeur ? Vous voulez dire que vous aviez déjà trouvé la manivelle ? s’exclama Lucke.
- Eh oui ! C’était extrêmement facile, un coup d’œil m’a suffi, c’était juste pour te tester, Lucke. Bravo !
L’homme grogna.
- Grr… Ca me plait pas trop de laisser deux étrangers entrer dans Saint-Mystère, mais bon, j’ai pas le choix. Passez mes hommages à la baronne.
L’homme baissa le pont-levis. Très sûrs d’eux, nos amis s’engagèrent sur le pont. Ils ne savaient pas ce qui les attendait à Saint-Mystère…

Le village n’était pas très gai. Il faisait plutot rustique. D’ailleurs, la majorité de sa population était des personnes agées. Sa place cebtrale n’était pas très animée. Lucke et le professeur avaient marché environ dix minutes dans des allée sombre, jusqu’à y parvenir.
- Eh bien, professeur, quelle ambiance !
- Je ne te le fais pas dire Lucke ! Mais nous devons trouver le manoir de la famille Reahold, et nous n’avons aucune indication…
Alerté par ces bruits, un homme de petite taille, aux cheveux bien peignés, vint les voir.
- Bonjour, dit-il, je m’appelle Albert.
- Ravi de faire votre connaissance Albert, je suis le professeur Layton.
- Vous n’êtes pas d’ici, je me trompe ? demanda Albert.
- Non, nous venons d’arriver, répondit Layton.
- J’ai entendu dire que vous cherchiez le manoir de la famille Réahold, si oui, il se situe à l’ouest du village, continuez tout droit. Ca fait plaisir de voir des nouveaux à Saint-Mystère.
- Merci beaucoup ! dit Layton.

Lucke et le professeur continuèrent leur route. Plus à l’ouest du village, les deux génies virent un homme chauve, aux lunettes noires, qui avait un grand nez. Celui-ci leur barrait la route.
- Z’êtes nouveau ? s’écria-t-il. J’vous ai jamais vu dans l’coin vous deux ! Vous voulez passer ?
- Oui, fit Layton d’un ton calme et posé.
- Je me demande ce que deux guignols vont faire dans la barraque des Réahold, mais bon… Vous verrez ça avec le gardien : Ràmon.
- Quoi ?! Cette chose, c’est…, commença Lucke qui fut coupé par le type.
- Le jardin des Réahold, oui.
Effectivement, devant eux se trouvait une immense étendue d’herbes et de fleurs, dans laquelle ils marchaient depuis cinq minutes : le jardin de la famille Réahold ! Lucke et le professeur s’avancèrent dans le jardin, et aperçurent le fameux Ràmon. Il était grand, maigre, avec une chevelure brune, et de grosses lèvres violettes.
- Où allez-vous ? demanda-t-il d’une voix assez aigüe.
- Je suis le Professeur Layton, et voici mon assistant, Lucke. Nous désirons nous rendre au manoir Réahold.
- Hum hum…fit le gardien, d’un ton septique. Et comment comptez-vous me le prouver ? Après tout il est fort possible que vous soyiez un criminel de bas étage coiffé d’un haut de forme. Si vous êtes le vrai professeur Layton, vous devrez résoudre l’énigme que je vais vous poser tout de suite.
- Non mais pour qui il se prend celui-là ! grommela Lucke.
- Allons Lucke, ce n’est pas bien grave ! fit le professeur, après tout c’est vrai, nous pourrions être des criminels !
- Voici l’énigme : un homme rend visite à huit heures chez son médecin. Celui-ci lui dit qu’il doit prendre une gelule par jour, à huit heures. Il y a dix gelules. Mais attention, chaque gelule est différente, il doit les prendre dans un ordre bien précis. Pour cela il doit les numéroter. Combien doit-il en numéroter au minimum ?
Le professeur baissa la tête et ferma les yeux. Puis il la releva et dit :
- huit.
- Pourquoi ? demanda Ràmon.
- Car comme il est allé chez le médecin à huit heures, et qu’il doit prendre une gelule à huit heures, c’est le docteur qui lui a dit laquelle il devait prendre. Il n’a donc pas eu besoin de la numéroter. Ensuite, il n’avait qu’à en numéroter huit, et la gellule non numérotée sera la dernière.
Stupéfait, Ràmon acquieca :
- Désolé de vous avoir manqué de respect.
Il les laissa passer, et ils arrivèrent donc au manoir

En tout cas c'est Layton97 qui t'aurais aidé et fais pas attention à elle. Elle pourris tout les sujets par ou elle passe

oki merci pr l'info. Sinon t'en pense quoi tu veux que je mette la suite ??

otaku84 a écrit:

(Voilà bonne idée je fais copier collé ici xD)

Chapitre 1

Je n’avais parler a personne de ce que j’avais vu ce jour la… en effet… Tout commence comme ça : Professeur Layton, archéologue à la capacité de réflexion hors du commun, et son assistant Lucke, sont dans leur voiture et roulent tranquillement. L’air était frais et la rosée du matin luisait encore sur la végétation encore fraiche du jour. Lucke regarde les papillons derrière la vitre tout (Tout quoi)
- Professeur, dit Lucke, quand allez-vous enfin m’expliquer ? Je ne comprends pas. Pourquoi nous être déplacés pour une simple histoire d’héritage ?
- Ah ah, Lucke, tu ne me connais pas ! Tu penses vraiment que j’irais aussi loin pour une simple histoire d’héritage ? Non, en réalité c’est une affaire beaucoup plus complexe. Vois-tu, le Baron Augustus Reahold riche héritier d’une famille aisée du monde, est mort il y a un mois. Sur son testament il est inscrit : « La pomme d’or mon plus grand trésor, est cachée dans ce village (Saint Mystère) Celui ou celle qui la trouvera héritera de tous mes biens. » Or, de tous ceux qui l’ont cherchée, personne ne l’a trouvée. Bref, la Baronne, après avoir jeter un œil sur un article me concernant, m’a convoqué pour résoudre cette énigme, expliqua le professeur.
- Et qu’est-ce que la pomme d’or au juste ? Demanda Lucke.
- Pour certains, c’est un bijou, pour d’autres, un tableau, personne ne sait exactement de quoi il s’agit.
- Je vois, répondit Lucke d’un ton malin, et votre célèbre intuition de détective vous dit que cela promet d’être intéressant …
- Enfin, fit Layton, tu sais aussi bien que moi que je n’ai rien d’un détective, c’est tout simplement que tout gentleman qui se respecte doit toujours accepter la demande d’une jolie femme.
- Si vous le dites Professeur…
La petite voiture anglaise poursuivit sa route encore quelques temps dans la terre battue avant d’arriver à destination.
- Nous arrivons !
Ils descendirent de leur voiture. A première vu, ils restèrent assez abasourdi par ce qu’il avaient sous les yeux. Lucke et le professeur restèrent plantés devant Saint Mystère, sans pouvoir y accéder.
- Ça alors, dit Layton, c’est la première fois que je vois une chose pareille : un village fortifier, et entourer par un fossé !
A cause de cela, justement,



La seule chose que l’on voyait nettement était une tour qui Dépassait du village.
Une immense tour formée de maisons empilées les unes sur les autres.
- Heu… Professeur ? Apparemment nous sommes coincé…
En effet, seul un pont-levis permettait d’entrer au village, et celui-ci était bloqué.
- Je sais Lucke, je l’ai vu. Mais il y a un homme là-bas, il abaissera peut-être le pont-levis.
Layton appela l’homme, et celui-ci se retourna nerveusement. Il était petit, gros, et il avait une casquette rouge qui lui tombait sur les yeux.
- Excusez-moi ! appela Layton, auriez-vous l’amabilité d’abaisser le pont-levis s’il vous plait ?
L’homme répondit au quart de tour :
- Non mais franchement, est-ce que j’ai une tête à baisser le pont-levis pour deux étrangers bizarres ?
- Nous sommes des invités de la Baronne, continua le professeur.
- Quoi ?! De la Baronne ? Okay, j’ai compris… Je baisserai le pont-levis pour vous, monsieur, mais alors, il faudra que vous m’aidiez à trouver la bonne manivelle…
L’homme montra trois manivelles. Comme celles-ci étaient très détaillées, Layton dut plisser les yeux pour mieux les voir. (Car je vous rappelle que Layton et Lucke sont du côté opposé de celui de l’homme). Le professeur examina les manivelles et déclara :
- Je n’y arrive pas. Lucke, veux-tu résoudre ce problème ?
- Pardon ?! s’exclama Lucke. Enfin, oui professeur.
Lucke examina, compara, et enfin annonça :
- C’est la première !
- Exact. dit son mentor.
- Comment ?! Fit Lucke, Professeur ? Vous voulez dire que vous aviez déjà trouvé la manivelle ? s’exclama Lucke.
- Eh oui ! C’était extrêmement facile, un coup d’œil m’a suffi, c’était juste pour te tester, Lucke. Bravo !
L’homme grogna.
- Grr… Ça me plait pas trop de laisser deux étrangers entrer dans Saint-Mystère, mais bon, j’ai pas le choix. Passez mes hommages à la baronne.
L’homme baissa le pont-levis. Très sûrs d’eux, nos amis s’engagèrent sur le pont. Ils ne savaient pas ce qui les attendait à Saint-Mystère…

Le village n’était pas très gai. Il faisait plutôt rustique. D’ailleurs, la majorité de sa population était des personnes âgées. La place centrale n’était pas très animée. Lucke et le professeur avaient marché environ dix minutes dans des allée sombre, jusqu’à y parvenir.
- Eh bien, professeur, quelle ambiance !
- Je ne te le fais pas dire Lucke ! Mais nous devons trouver le manoir de la famille Reahold, et nous n’avons aucune indication…
Alerté par ces bruits, un homme de petite taille, aux cheveux bien peignés, vint les voir.
- Bonjour, dit-il, je m’appelle Albert.
- Ravi de faire votre connaissance Albert, je suis le professeur Layton.
- Vous n’êtes pas d’ici, je me trompe ? demanda Albert.
- Non, nous venons d’arriver, répondit Layton.
- J’ai entendu dire que vous cherchiez le manoir de la famille Réahold, si oui, il se situe à l’ouest du village, continuez tout droit. Ça fait plaisir de voir des nouveaux à Saint-Mystère.
- Merci beaucoup ! dit Layton.

Lucke et le professeur continuèrent leur route. Plus à l’ouest du village, les deux génies virent un homme chauve, aux lunettes noires, qui avait un grand nez. Celui-ci leur barrait la route.
- Z’êtes nouveau ? s’écria-t-il. J’vous ai jamais vu dans l’coin vous deux ! Vous voulez passer ?
- Oui, fit Layton d’un ton calme et posé.
- Je me demande ce que deux guignols vont faire dans la barraque des Réahold, mais bon… Vous verrez ça avec le gardien : Ràmon.
- Quoi ?! Cette chose, c’est…, commença Lucke qui fut coupé par le type.
- Le jardin des Réahold, oui.
Effectivement, devant eux se trouvait une immense étendue d’herbes et de fleurs, dans laquelle ils marchaient depuis cinq minutes : le jardin de la famille Réahold ! Lucke et le professeur s’avancèrent dans le jardin, et aperçurent le fameux Ràmon. Il était grand, maigre, avec une chevelure brune, et de grosses lèvres violettes.
- Où allez-vous ? demanda-t-il d’une voix assez aigüe.
- Je suis le Professeur Layton, et voici mon assistant, Lucke. Nous désirons nous rendre au manoir Réahold.
- Hum hum…fit le gardien, d’un ton septique. Et comment comptez-vous me le prouver ? Après tout il est fort possible que vous soyez un criminel de bas étage coiffé d’un haut de forme. Si vous êtes le vrai professeur Layton, vous devrez résoudre l’énigme que je vais vous poser tout de suite.
- Non mais pour qui il se prend celui-là ! grommela Lucke.
- Allons Lucke, ce n’est pas bien grave ! fit le professeur, après tout c’est vrai, nous pourrions être des criminels !
- Voici l’énigme : un homme rend visite à huit heures chez son médecin. Celui-ci lui dit qu’il doit prendre une gélule par jour, à huit heures. Il y a dix gélules. Mais attention, chaque gélule est différente, il doit les prendre dans un ordre bien précis. Pour cela il doit les numéroter. Combien doit-il en numéroter au minimum ?
Le professeur baissa la tête et ferma les yeux. Puis il la releva et dit :
- huit.
- Pourquoi ? demanda Ràmon.
- Car comme il est allé chez le médecin à huit heures, et qu’il doit prendre une gélule à huit heures, c’est le docteur qui lui a dit laquelle il devait prendre. Il n’a donc pas eu besoin de la numéroter. Ensuite, il n’avait qu’à en numéroter huit, et la gélule non numérotée sera la dernière.
Stupéfait, Ràmon acquiesça :
- Désolé de vous avoir manqué de respect.
Il les laissa passer, et ils arrivèrent donc au manoir

Attends je viens de le finir et j'ai vu quelques fautes mais je trouve ça pas mal continue comme ça

en fait tu sais koi je pense que je vais la mettre dans blabla nan ? pck sa correspond pas du tout aux autre texte qui se trouve ici...

ça demande a Fofolle

Hey c'est cool ça!

Ouais

ouai trop

wesh méga bien enfin un sujet qu'elle ne pourris presque pas

Et tu compte le continuer?

Je pense que oui il vaut le terminer

Voila la suite dsl pour l'attente j'ai bientot fini le Chap 3 je le poste des que possible !
en attendant voici le chapitre 2, laissez des coms !



Chapitre 2




La résidence des Reahold était gigantesque. Elle ressemblait aux châteaux des contes de fées. Le professeur frappa à la porte. La voix d’un petit homme affolé retentit :
- Euh… Oui oui, entrez !
Ils entrèrent donc dans l’immense demeure, entierment cirée et astiqué. L’homme se présenta.
- Enchanté. Je m’appelle Mattew. Vous devez être le professeur Layton, je me trompe ?
- Oui, c’est moi, confirma Layton. Et je me suis permis d’emmener mon assistant : Lucke.
- Enchanté ! dit Lucke.
- Très bien très bien, poursuivit Mattew. Permettez-moi de vous soumettre cette devinette, sur ordre de la Baronne. Un amuse-geule de premier choix. Elle veut savoir si vous êtes à la hauteur de l’énigme de la pomme d’or. Ne vous en offusquez pas, Madame a parfois des idées… bizarres.
- C’est une manie ! protesta Lucke
- Je suis prêt, dit le professeur. Lucke soupira.
- Alors voilà, commença Mattew, sûr de lui. Il est midi. Sachant qu’une horloge standart est composée d’une aiguille pour les heures, et une pour les minutes, combien de fois l’aiguille des minutes dépassera celle des heures si l’on va jusqu’à minuit ?
Sans l’ombre d’un doute, le professeur répondit :
- dix fois. Parce que sachant qu’à midi, les deux aiguilles démarrent exactement en même temps, l’aiguille des minutes ne dépasse pas celle des heures. De même pour le dernier tour, les deux aiguilles s’arrêteront en même temps (puisque c’est minuit). L’aiguille des minutes ne dépassera donc l’aiguille des heures ni pour le premier, ni pour le dernier trajet.
Dans un hochement de tête, Mattew ajouta :
- Impressionnant… Veuillez vous rendre à l’étage, tout le monde vous attend.

Au premier étage se trouvait la Baronne, jeune femme charmante aux boucles d’oreilles en or massif et en forme de losange, au rouge à lèvres rosé et au mascara lilas sur les cils. Elle portait dans ses bras une chatte blanche ornée d’un ruban violet. A sa gauche, il y avait un homme extrêmement gros, presque obèse, qui avait un chapeau bleu et de petits yeux. Il avait également une moustache en banane et un double menton. Dans ses yeux, on pouvait lire le stress, ainsi qu’une sorte de peur, une espèce d’inquiétude. Il n’arrêtait pas de se passer un mouchoir sur le visage. Et à sa droite, appuyé contre le mur, les bras croisés, se tenait un homme qui, tout en rajustant ses lunettes posées sur son grand nez, regardait le professeur d’un air hautain, tout en esquissant un petit sourire satisfait.
- Vous devez être le professeur Layton je présume ? demanda la Baronne. C’est un honneur de vous rencontrer.
- Oh non, mais tout le plaisir est pour moi, et voici mon assistant, dit le professeur en désignant Lucke.
- Je suis la Baronne Dalhia Reahold, et je…

La baronne fut interrompue par un bruit sourd venant du plafond. Dans un miaulement incomparable, la chatte de la Baronne sauta au sol et s’enfuit par la porte. Sur ce, la Baronne cria :
- Mattew ! Avez-vous vu passer mon petit bébé, Claudia ?!
Mattew monta les escaliers et accourut dans la pièce :
- N…no…non Madame, j…je ne l’ai pas vue…, bégaya-t-il.
- Mais je suis entourée d’incapables ! braya la Baronne.
- Moi je l’ai vue, dit Lucke. Elle est partie par cette porte.

En disant ces mots, il désigna la porte par laquelle ils étaient entrés dans la pièce.
- Comment ?! fit Dahlia Reahold outrée, vous l’avez vue sortir, et vous n’avez rien fait pour l’en empêcher ?! Allez me retrouver ma petite Claudia, et en vitesse !
- Bien Madame, ne sut que dire le Professeur.

Au moment où Lucke et Layton s’apprêtaient à s’en aller, les deux hommes qui étaient avec la Baronne les arrêtèrent.
- Je ne me suis pas présenté, je m’appelle Ruppert, neveu du Baron.
- Quant à moi, c’est Gordon, dit le plus gros, son frère
Ruppert s’adressa au professeur d’un ton rival :
- Professeur Layton, cela fait bien longtemps que j’ai entendu parler de vos exploits… Et aujourd’hui, je vais en avoir le cœur net .Car bien que Saint-Mystère soit un petit village, il est parfois dificile de trouver ce qu’on y cherche. Alors un chat ! Vous aurez des ennuis.
- Merci de vos conseils Ruppert, ils nous seront sans doute très utiles, répondit calmement le professeur.

Les deux compagnons s’éloignèrent, tandis que Ruppert grinçait des dents. Une fois dehors, Lucke prit la parole :
- Professeur…
- Qu’y a-t-il Lucke ?
- Ce type… Ruppert… il ne me plait pas.
Layton se mit à rire :
- Voyons Lucke, il faut apprendre à le connaître, c’est tout ! Tiens, voilà quelqu’un, allons lui demander s’il a vu Claudia.
Visiblement, l’homme avait une trace de griffure sur la joue. Le professeur l’interrogea.
- Excusez-moi, mais j’aimerais savoir si vous avez vu une chatte blanche avec un ruban violet dans les environs ?
L’homme montra sa cicatrice et brailla :
- Si je l’ai vue ! Une vraie furie ! Elle est partie à droite ! Vous ne pouvez pas la rater, c’est une impasse.
- Merci !
Ils s’élancèrent dans la vois indiquée par l’homme. Ils traversèrent le long couloir de briques, puis arrivèrent enfin au cul de sac. Là, se trouva Claudia, qui les dévisageait en miaulant lentement.
- Enfin ! soupira Lucke.
- Lucke, dit Layton, tu as toujours eu plus de chance que moi avec les bêtes, c’est donc à toi que revient l’honneur de l’attraper.
- Heu… Vous avez raison Professeur.
Hésitant, le jeune garçon s’approcha, attrapa la chatte… Et brusquement celle-ci lui envoya un coup de griffes en pleine figure !
- Ouille ! gémit Lucke.
Trop tard, la chatte lui avait échappée. Layton s’empressa d’aider Lucke à se relever.
- Ca va aller ?
- Oui oui… Mais cet animal nous a échappé !
Ils continuèrent leur chemin, mais la chatte restait introuvable. Ils commençaient à désespérer : ou bien les personnes qu’ils interrogeaient ne l’avaient pas vue, ou bien ils l’avaient vue mais elle avait disparue. Puis le professeur eût soudain une idée.
- J’ai trouvé ! Il faudrait…
Il n’eût pas le temps de finir sa phrase, car un nouveau bruit sourd l’arrêta net. Un bruit qui venait de la tour.
- Ca alors Professeur ! Un nouveau bruit ! Je me demande ce que ça peut être…
- Intolérable ! C’est la deuxième fois que ça arrive !
Un homme de moyenne taille au pull rouge et au bonnet bleu jurait. Le professeur étonné demanda :
- La deuxième fois ? Ca n’est jamais arrivé avant ?
- Encore heureux que ça ne soit jamais arrivé ! répliqua l’homme.
- Ca a peut-être rapport avec nous…, murmura Layton intérieurement. Puis il chassa cette idée de son esprit aussi vite qu’elle y était entré.
Non loin de là, un homme couvert de suie toussotait bruyamment. Un homme qui n’avait peut-être pas de très bonnes intentions. Un homme qui ricanait dans sa barbe.
- Grrr… Saleté ! Il faut que je me change ! Maudit Layton… La pomme d’or sera à moi ! Niark, niark, niark…
Revenons au deux amis …
- Lucke ! fit le professeur, oublions donc pour l’instant cette histoire de bruit et concentrons-nous sur notre objectif. Je disais avoir une idée. Il faudrait attirer la chatte avec quelque chose qu’elle aime. Quelque chose comme du poisson !
Il montra une vieille dame qui débarrassait ses poubelles. Il alla la voir.
- Excusez-moi, je tiendrais à avoir une carcasse de poisson… Puis-je vous en prendre une ?
- Sûr jeune homme, sûr !
Layton revint avec un cadavre de poisson.
- Félicitation Professeur, s’exclama Lucke avec entrain.
Ils posèrent le poisson sur le sol et attendirent cinq minutes. Dix minutes. Quinze minutes. Au bout d’une demi-heure, ils perdirent patiente cepandant Lucke, raisonné par le professeur continua a attendre. Environt 1h et demie plus tard, sur un coup de chance, la chatte passa par la. A peine avait elle vu le poisson qu’elle se jeta dessus. A cet instant, le professeur attrapa le poisson et il le brandit au-dessus de sa tête à une hauteur suffisante pour qu’elle ne puisse pas l’atteindre. La chatte les suivait tout en essayant d’attraper le poisson mort, tandis que Lucke et le professeur marchaient tranquillement vers le manoir. Arrivés au manoir, ils constatèrent étrangement que Ràmon n’était pas là. Mattew non plus. Ils montèrent à l’étage et découvrirent avec effroi le corps sans vie de Ruppert sur le sol.

j'espere que ça vous a plu, j'investie pas mal dans cette fic ^^

Très beau!

Le temps que ça doit te prendre ^_^
Bel effort félicitations!

merci x)

il y a eu qu'un seul bon coms mais bon xD voici le chapitre 3 ( bon comme d'habitude, vous laissez des coms )


Chapitre 3


Tout le monde se lamentait autour du corps de ce pauvre Rupert .Lucke et le professeur se frayèrent un chemin au milieu de la foule .
- Que s’est il passé ? demanda le Professeur assez troublé par les faits. Gordon repondit :
- Je…je ne comprend pas…Rupert pouvait se montrer désagréable mais il n’avait pas d’enemis…
- Qui gère l’affaire ? Une voie retenti :
- Moi !
Le professeur se retourna et se retrouva face a un homme d’une cinquantaine d’année, aux cheveux gris qui lui faisait une légere mèche sur le coté , un homme avec une petite moustache et qui empestait le tabac.
- c’est moi qui gère l’affaire, oui. Le professeur lui tendit la main
- Enchanter ! Dit-il.
L’homme ne la lui serra pas
- Je m’appelle Chemley. Fit-il .Inspecteur Chemley.
Dalhia alla couper la parole à l’inspecteur pour demander a Layton :
- Avez-vous vu Ràmon ? Il est le seul non présent dans la piece.




Etonné, le professeur la dévisagea.
- Comment ? Il n’est pas avec vous ? Pourtant il n’était pas dans le jardin, c’est étrange…
Dalhia ne put en supporter davantage.
- Ruppert meurt, Ràmon disparaît… C’en est trop !
Elle manqua de s’évanouir, si Mattew ne l’avait pas retenu.
- Eh bien Inspecteur, dit Layton, voici une nouvelle affaire pour vous !
Chemley regarda le professeur d’un air méprisant. Celui-ci remarqua soudain un détail : à côté du corps se trouvait un tout petit engrenage.
- Qu’est-ce que cela veut bien dire ? se dit-il. Il appela Lucke.
- Je…je vais me reposer… dit Dalhia en se retirant dans sa chambre.
Lucke, ainsi que le professeur, se posaient la même question : était-ce un meurtre ? Les deux amis descendirent l’escalier. En bas, le professeur prit une décision.
- Lucke, nous allons enquêter sur la disparition de Ramon. Sa disparition soudaine n’est pas normale…de plus, ça a peut être un raport avec la pomme d’or.
- Vous avez raison professeur ! s’empressa de confirmer Lucke.
- Commençons par explorer la ville, ça nous sera utile.
Ils allèrent donc dans des ruelles, jusque devant un parc fermé… Sans succès. Soudain, ils virent l’homme qui leur avait ouvert le pont. Layton vint le voir.
- Eh bien ? Que faites-vous là ? Vous ne devez pas surveiller le pont ?
L’homme se tourna en grognant.
- Figurez-vous que le pont est fermé, et qu’un petit malin m’a volé la manivelle.
Lucke effaré, se rendit compte de la gravité de la situation.
- Quoi ?! Ca veut dire qu’on est coincé ici ?
- Ouais, on ne peut ne rentrer, ni sortir. Pourtant, personne du village n’aurait pu faire ça, je les connaît trop bien. En revanche, des étrangers comme vous…
- Ecoutez monsieur, dit Layton, je comprends bien que tous les soupçons portent sur nous. Cependant êtes-vous bien sûr que nous sommes les seuls étrangers à Saint-Mystère ?
- … Mais c’est vrai ! réalisa soudain le gardien, il y a eu ce drôle d’inspecteur.
- Donc nous ne sommes pas les deux seuls suspects.
Sur ce il, s’éloignèrent de l’homme.
- Professeur, fit Lucke, il nous reste beaucoup de lieu à voir. Continuons. Après avoir questionner de nombreuse personnes, le professeur s’arreta net.
- Non, Lucke, nous devons chercher méthodiquement. Cherchons un endroit ou les gens en savent long sur Ramon. Ses amis ou ses connaissances …demandons au villageois si ils connaissent de telle personne dans leur village. En tant que seul gardien de jour et de nuit, il ne devait pas en avoir beaucoup.
Sitot dit sitot fait, ils allerent interrogé un vieil homme : Pour seule réponse , il les dévisagea et murmura :
- Le café oui, aller au café…tout les ragots sur la ville se cache en ce lieu .
- Lucke, tu sais ce qu’il nous reste a faire :Allons au café !
Grace a quelques indications ils trouverent rapidement le café. Enfin…plutot la route qui y amené ! En effet, une grille bloqué l’accès qui mené au café. Quelqun se tenait devant la grille. Il était grand, et il ouvrait de grand yeux cernés.
- Que puis-je faire pour vous ? Leur demanda-il . Layton repondit :
- Nous voulons aller au café. Pourquoi la route est est-le barré ?
L’homme parut alors étonner :
- le café n’ouvre qu’à la tombée de la nuit ! Tout le monde sais ça !
Le professeur soupira.
- Et bien Lucke, je crois que nous allons devoir prendre notre mal en patience !
- Nous ne devrions pas chercher ailleurs ?
- Non Lucke, nous somment sur la bonne voie. Et quelque chose me dit que la disparition de Ramon est lié d’une maniere ou d’une autre avec la pomme d’or. De plus, la patience est toujours récompensé,notre recherche de claudia toute a l’heure nous l’a encore prouver. Il est 5h et demie,la nuit tomberas dans une ou deux heures.
En effet, au bout de deux heures, la pénombre tomba sur Saint-Mistere et la grille s’ouvrit. Aussitôt, ils se ruèrent dans l’allé et avancèrent, jusqu’au café, qui se trouvait dans un croisement.ils y pénétrèrent. L’intérieur sentait l’acool fort et le renfermer. Un serveur en train d’astiquer les verres se retourna et les dévisagea.
- déjà des clients, leurs dit-il, quesque je vous sert ?
- He bien , nous venons pour un renseignement.
Le serveur parut étonné :
- Ho ? De quoi sagit-il ?
- Nous voudrions savoir si vous n’aviez pas vu le gardien de la famille Reaold, un certain Ramon. Il a disparut, Lui expliqua Layton. Le serveur s’arrêta un instant puis regarda à droite et a gauche, comme pour s’assuré que personne ne les écouter.
- Que cela reste entre nous, dit-il, mais beaucoup de villageoisdisparaissent ces derniers temps. on raconte qu’un type louche rode dans les environs et enlève les villageois…mais c’est une rumeur, pensez en ce que vous voulez. Enfin ne le répéter pas hein ? Je ne veut pas effrayer tout le village ! Vous savez, les clients raconte pas mal de trucs.
Le professeur parut pensif un moment puis il dit :
- Seriez-vous capable de vous souvenir quel client a dit ça ?
- Ho oui ! C’était Grum. Il vient souvent ici. Sinon, à cette heure-ci il est en train de réfléchir devant le vieux parc ou au restaurant de Michel. Facile de le reconnaître : c’est le seul rouquin à lunette de tout St-Mystere !
Layton le remercia et entraina Lucke dehors :
- Lucke, commençons par aller au vieux parc. Nous devons trouver Grum.
Ils se turent. Le professeur souris tout en rajustant son haut-de-forme.
- En fin de compte, nous sommes peut-être sur les traces d’un mytomane faisant courir des rumeurs idiote tandis que Ramon a tout simplement fui son travail.
Les deux détectives se tournèrent l’un vers l’autre et se mirent a rire,Lucke avec entrain, Layton avec retenue. Cela fait huit ans que Lucke et le professeur vivent ensemble, depuis que ce dernier l’à adopter à l’age de cinq ans. Huit ans. Mais malgré huit ans de complicité et d’amitier, Lucke ne peut pas s’empêcher de vouvoyer son mentor car il garde un sentiment d’admiration à son égard.


Pendant ce temps au manoir, la baronne, ayant finit de se reposer sortie de sa chambre et tomba sur l’inspecteur Chemley qui interroger tout le monde.
- Inspecteur, l’enquête avance ? Questionna-elle
- Patience,Mlle Reaold, patience. Au moment du meurtre Ramon disparaît. Vous ne trouver pas ça étrange ? Je suis sur que c’est lui l’assassin et qu’il c’est enfui pour nous échapper. De plus, je pense que le professeur et son…assistant y sont pour quelque chose. D’ailleurs ou sont ils, c’est deux la ?
- Vous ne savez pas ? Ils sont partit a la recherche de Ramon.
- Quoi ?! Ils se sont sûrement donner rendez-vous ! Grrrr… je les aurait !
De leurs cotés, Layton et Lucke rechercher Grum. Après une longue recherche autour du parc il se résolurent à une conclusions : il ne s’y trouvait pas. Ils s’apprêtaient à aller au deuxieme lieu indiquer par le serveur quand le professeur fut retenue par un détail : Les lunettes de Rupert se trouver à ses pieds.
- Lucke, regarde ça : cela signifie que le cops ai était tué à l’extérieur pour ensuite être emené à l’intérieur du manoir car souviens toi, il nous avait dit qu’il sortait pour nous suivre. A moins que le coupable ait emené les lunettes de Rupert à l’extérieur, or personne n’est sortit du manoir à part nous et Ramon. Il devient donc le suspect n°1. En tout cas c’est sûr à présent : il sagit d’un meurtre.
- Professeur, vous êtes un génie !
- Ha, ha ! en attendant, allons au restaurant de Michel.
Ils s’y rendirent au pas de course. En entrant, ils ne virent qu’un seul client : un rouquin à lunettes.
- Excusez-moi, êtes vous bien Grum ? Dit Layton.
- En effet c’est bien mon nom, Dit-il, que me voulez-vous ?
- A vrai dire, le serveur du café nous a dit que vous savez quelque chose à propos des enlèvements qui sévissent à St-Mystere. Et…
- Stop, stop, stop. Je suis bel et bien Grum. Si vous voulez, je peux vous donner des renseignements sur les enlèvements au village. Mais avant je voudrais savoir : êtes-vous bien le professeur… Luton ?
- Layton, corrigea le professeur.
- Layton, je le savais ! Mes dons ne me trompe jamais !
- Vos… dons ? Fit Lucke, intrigué.
- Oui, mes dons divinatoire. Je les possède depuis ma plus tendre enfance. Je suis donc aussi au courant de Ramon. Je sais tout.
Le professeur commençait à douter de la crédibilité de l’homme.
- He bien, figurez-vous, reprit Grum, que la personne qui enlève les villageois n’est autre que… la baronne !
- La…baronne ? Fit Lucke, mi-amusé, mi-effaré.
- En effet ! Apparemment, ce serait pour venger son mari. Elle pense que c’est un villageois qui l’a tué. C’est donc elle qui a enlevée Ramon.
- Je comprends. Fit Layton. Merci beaucoup.
Ils sortir du restaurant sans rien dire. Si ils riaient tout à l’heure en s’imaginant cette situation, désormais, ils penser à tout sauf à ça.
- He bien, dit Layton, je suppose que tout gentleman qui se respecte doit parfois accepter de se tromper.
Il y eu un léger bruit derrière eux. Ils se retournèrent brusquement. L’effrois les atteint de plein fouet. Le corps de Ramon inanimé gisait sur le sol à quelques mètres d’eux. Une petite voix chevrotante retentit :
- Flûte ! Il est encore tombé !
Un homme sortit de la pénombre. IL s’agissait d’un vieillard au nez rouge, à la barbe forte et aux vêtements bleu troués, usés, déchirés. Quand il apperçut Lucke et le professeur, il s’empressa d’enfourner Ramon dans un grand sac et se mit a courir à toute vitesse ! Les deux détectives n’eurent pas le temps de réfléchir se lancèrent à sa poursuite. Après avoir échangé un bref regard ils se lancèrent à la poursuite du mystérieux kidnappeur.
- Il court vite pour son âge, vous ne trouver pas professeur ?
- En effet Lucke ! Surtout avec un corps sur le dos ! Mais nous le rattrapons !
En effet, ils le gagner en vitesse. Mais à peine allait allaient-ils l’attraper que le sinistre personnage sauta d’un bond magistral la poubelle qui lui faisait obstacle, tandis que ses poursuivant n’eurent d’autre choix que de l’enlever. Et les revoilà déambuler dans les rue de St-mystère, a présent défavorisés par la distance qui les séparaient du barbu, d’autant plus que celui-ci renversait tout sur son passage pour les ralentir encore plus. Mais après une remarquable pointe de vitesse, ils réussirent à le rattraper. Ils allaient une nouvelle fois lui mettre la main dessus quand soudain, dans un tournant, l’homme se volatilisa. Lucke baggya, essouflé :
- M…mais ou est-il passé ?
Mais il s’arrêta net, car autre chose retint son attention : tout à coup, au loin, toute les fenêtres de la tour surplombant le village s’allumèrent en même temps. Devant un tel spectacle, tout deux ne surent que dire un mot avant de tomber de fatigue :
- Incroyable…




Lucke ouvrit les yeux
- Te voila enfin réveillé ! Cette voix lui était familière. C’était celle du professeur qui lui parlait, le visage éclairé par la lumière du matin : il faisait jour.
- Nous devons retourner au manoir raconter ce que nous avons vu. Dépèche- toi !
Après une traversée jusqu’au manoir durant laquelle Lucke somnolait, ils arrivèrent au manoir et virent avec stupeur que Ramon était a son poste, tranquillement.

nan mais c'est mon père qui s'y est m'y xD alors quand jme souviens plus il m'explique tout !